Dans un bouleversement judiciaire qui secoue la ville de Chefchaouen, le président du conseil provincial a été placé en détention provisoire à la suite d’accusations graves de détournement de fonds. Cette affaire de corruption Chefchaouen a attiré l’attention des enquêteurs de Rabat, alors que des allégations concernant des agents fantômes pointent vers une gestion douteuse des finances publiques. La révélation de salaires perçus sans travail effectif remet en question l’intégrité des membres du conseil provincial, soulignant la nécessité d’une vigilance accrue face à la corruption institutionnelle.
Enquête sur la corruption à Chefchaouen
Le président du conseil provincial de Chefchaouen fait l’objet d’une enquête pour détournement de fonds publics, marquant une étape cruciale dans la lutte contre la corruption au Maroc.
Les investigations, menées par la brigade nationale de police judiciaire, ont révélé des pratiques frauduleuses concernant des employés fictifs et des salaires non justifiés.
Détention provisoire du président
Suite aux accusations portées, le président a été placé en détention provisoire à la prison de Tamsna, tandis que les enquêtes se poursuivent.
Cette décision fait suite à des révélations inquiétantes sur les finances du conseil provincial et soulève des questions sur la gestion des fonds publics.
Découvertes sur les agents ‘fantômes’
Un rapport d’un huissier a mis en lumière la présence d’agents ‘fantômes’ qui percevaient des salaires sans véritable engagement professionnel.
Ces éléments ont été déterminants dans l’enquête et soulèvent des préoccupations quant à la transparence des pratiques administratives à Chefchaouen.
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